Installation de la nouvelle équipe en médecine nucléaire

  •  Dr JEROME SLAMA   Médecin spécialisé en médecine nucléaire - Isotopiste

« Continuer à s’adapter pour mieux diagnostiquer et soigner »

Après un cursus hospitalo-universitaire dans le service de médecine nucléaire de l’hôpital Bichat, une rencontre avec Emile DINET, Directeur Général SENY*, motive le Docteur Jérôme SLAMA pour développer une carrière en tant que médecin libéral.

Le docteur Jérôme SLAMA exerce dans deux établissements SENY : le Centre TEP de BIM (Beaujon Imagerie Moléculaire), en partenariat avec l’Hôpital Beaujon et dans son enceinte à Clichy où il a créé et développé l’activité libérale depuis 6 ans et le Centre de Scintigraphie et TEP Paris-Nord à Sarcelles.

Il a une vision claire du potentiel de la médecine nucléaire, « une spécialité qui va vite et ne cesse de se développer, par exemple avec la théranostique, combinaison de la thérapie et du diagnostic ». 

« Dans mon métier, je transmets une analyse de l’examen d’imagerie aux médecins correspondants, principalement oncologues, dans le but de les aider à définir le protocole thérapeutique et à optimiser la prise en charge des patients. »

Le Docteur SLAMA a le souci de la performance. Au plan de sa pratique médicale, cela se traduit par une volonté d’améliorer sans cesse la qualité du diagnostic et le bien-être du patient.

*SENY filiale à 100% d’ELSAN qui développe et gère des établissements de diagnostic et des centres de traitement du cancer


  • Dr MATHIEU NESSIM TOLEDANO Médecin spécialisé en médecine nucléaire                                                                                                                        
    « La médecine nucléaire, une véritable passion. »

Ce jeune médecin de 32 ans, particulièrement dynamique, a souhaité renforcer l’équipe de médecine nucléaire de l’Institut de Cancérologie Paris Nord.

C’est sur les conseils de son frère que le docteur Alain TOLEDANO se spécialise en médecine nucléaire, une spécialité en constante évolution et devenue une pierre angulaire dans les bilans en cancérologie. Egalement utile à de nombreuses autres spécialités, telles que la cardiologie (coronaropathie), la pneumologie (embolie pulmonaire), les maladies infectieuses ou encore les pathologies ostéo-articulaires, la médecine nucléaire est une méthode d’imagerie « fonctionnelle ou métabolique » et occupe une place de plus en plus importante dans le parcours de soins de nombreux patients.

Diplômé d’un DES (diplôme d’études spécialisées) en médecine nucléaire, avec une spécialité complémentaire en oncologie, il a rédigé une thèse sur la valeur pronostique de certains paramètres de lymphomes mesurés en médecine nucléaire dont les résultats ont été publiés au Congrès Européen de la Médecine Nucléaire.  Pour lire sa publication, c’est ici.

« Grâce à une haute technologie de pointe, utilisant des radiotraceurs, on peut aujourd’hui évaluer en imagerie le fonctionnement de certains organes, un progrès considérable pour le bilan, l’évaluation thérapeutique et le suivi des patients. »





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